著名影片《安妮·霍尔》(Annie Hall, 1977)开头,主人公艾维·辛格引用了这样一句话:“I would never want to belong to any club that would have someone like me for a member.” (我从来不要加入哪个会接收我这样成员的俱乐部。)
Cette vie est un hôpital où chaque malade est possédé du désir de changer de lit. Celui-ci voudrait souffrir en face du poêle, et celui-là croit qu’il guérirait à côté de la fenêtre.
Il me semble que je serais toujours bien là où je ne suis pas, et cette question de déménagement en est une que je discute sans cesse avec mon âme.
« Dis-moi mon âme, pauvre âme refroidie, que penserais-tu d’habiter Lisbonne ? Il doit y faire chaud et tu t’y ragaillardirais comme un lézard. Cette ville est au bord de l’eau ; on dit qu’elle est bâtie en marbre et que le peuple y a une telle haine du végétal, qu’il arrache tous les arbres. Voilà un paysage fait selon ton goût, un paysage fait avec la lumière et le minéral et le liquide pour les réfléchir ! »
Mon âme ne répond pas.
« Puisque tu aimes tant le repos, avec le spectacle du mouvement, veux-tu venir habiter la Hollande, cette terre béatifiante ? Peut-être te divertiras-tu dans cette contrée dont tu as souvent admiré l’image dans les musées. Que penserais-tu de Rotterdam, toi qui aimes les forêts de mats et les navires amarrés au pied des maisons. »
Mon âme reste muette.
« Batavia te sourirait peut-être davantage, nous y trouverions l’esprit de l’Europe marié à la beauté tropicale. »
Pas un mot. – Mon âme serait-elle morte ?
« En es-tu donc venue à ce point d’engourdissement que tu ne te plaises que dans ton mal ? S’il en est ainsi, fuyons vers les pays qui sont les analogies de la Mort. - Je tiens notre affaire, pauvre âme ! Nous ferons nos malles pour Tornéo. Allons plus loin encore, à l’extrême bout de la Baltique ; encore plus loin de la vie, si c’est possible ; installons-nous au pôle. Là le soleil ne frise qu’obliquement la terre, et les lentes alternatives de la lumière et de la nuit suppriment la variété et augmentent la monotonie, cette moitié du néant. Là, nous pourrons prendre de longs bains de ténèbres, cependant que, pour nous divertir, les aurores boréales nous enverront de temps en temps leurs gerbes roses, comme des reflets d’un feu d’artifice de l’Enfer !»
Enfin, mon âme fait explosion et sagement elle me crie : « N’importe où ! n’importe où ! pourvu que ce soit hors de ce monde ! »
霍洛维茨的母语 是 乌克兰基辅犹太人---的地方俄语。他用俄语去理解 '雅各晒师吗师‘。差距在此。
演奏是你能听出来--。霍洛维茨总是不能深入作品的本质。当然,老霍洛维茨已经是神仙了。
Rubinstein is Polish and Jewish. His mother tongue is Polish. Therefore, he fully understood Chopin's emotional thinking. Why would he write such a phrase. --He understands how Chopin handles the subtle relationships between the ups and downs, strengths, lengths, stops, and paragraphs between phrases. I also play some of Chopin's famous songs. However, I always don't understand why it should be handled like this. This is why I am not "Jacob's teacher or teacher" thinking. I understand "Daobujie". That is in life. And music is a logical synthesis of emotion and thinking. It is a professional field.
Horowitz's mother tongue is Kyiv, Ukraine, the local Russian. He uses Russian to understand "Jacob Shashi Ma Shi". Here is the gap.
The performance is what you can hear--. Horowitz can never get into the essence of the work. Of course, old Horowitz is already a fairy
利未人 发表评论于
高兴遇到这么喜爱肖邦的朋友。正是鲁宾斯坦的演奏。我的CD是“RCA Red Seal”的“51 Mazurkas”。